La Storia di Vito Spagio

Cette histoire commence il ya longtemps, lors de la premiére venu de DonVitoSpagio en amérique.A l'époque il n'était encore que Vito Spagio...

Vito Spagio dernier survivant et fils ainé d'une ancienne " familles ", dont les membres étaient davantage liés par l'appartenance géographique que par le sang se rendit seul tard dans la nuit sur le vieux pont de Brooklyn.

Son arrivé récente dans son nouveau pays, ne l'avait pas empêché de réunir quelques informations sur les entités en place dans le milieu....
Vito s'intérressa de prés à l'une d'entre elles arborant haut et fort ses origines Siciliennes...
Pourquoi???
Tout simplement parce-qu'entre siciliens les choses sont claires ou l'on va dormir avec les poissons...

Le chef de famille, le vieux Don Spagio avait nommé son sottocapo (second) avec peu de reflexion semble t-il au vu du carnage qui allait faire couler le sang sans discontinuer jusqu'a l'extinction compléte ou presque des Spagio dans la région d'Agrigente en Sicile.

Les consiglieri et les chefs locaux (capidecina) qui commandaient quelques " hommes d'honneur " (picciotti), ainsi désignés car ce sont eux qui récoltaient le produit du racket (pizzu) allaient eux aussi se rallier sous la banniére du sottocapo nommé par le vieux Don Spagio...

L'âge n'apportant pas que la sagesse, cette nomination avait eu pour effet de voir tout les membres de sang de la famiglia Spagio finir dans un trou...Tous avaient payé chérement...

Béni ou maudit, Vito lui encore jeune à l'époque de ce massacre, fut caché et protéger par des nonnes car interne dans un collége réputté en Italie...

Les années passérent puis il retourna dans la région d'Agrigente...
Un par un, Vito mena sa vendetta personnelle...Mais le sottocapo qui avait trahi lui ne put-être abattu...Du moins pour l'heure...

Vito quitta la Sicile, sans avoir terminer la tâche qu'il c'était fixé, mais cela n'est que partie remise et sa main pleine de haine et de vengeance, sous peu frapperra l'instigateur de cette funeste trahison...

Vito toujours sur le pont, s'aprocha d'un vieil homme qui était bien là comme on le lui avait dit...Vito devait se présenter à lui...

Ce qu'il fit...

La discussion dura plusieurs minutes, puis avec respect, Vito déposa un billet de 20$ sur le long manteau usé du clochard qui le regardait droit dans les yeux sans broncher...Vito salua l'homme et s'éloigna en s'allumant une cigarette...

Quelques jours aprés que Vito se soit entretenu avec le clochard du pont de Brooklyn, un homme d'honneur influent d'une des Famiglia de NY vint à sa rencontre dans le quartier de Little-Italy.
Ce cernier souhaitait juste faire officieusement la connaissance de Vito.
Rencontre qui n'engageait à rien hormis faire montre de respect envers le jeune Sicilien qu'était Vito Spagio.

Aprés que les deux hommes se soient séparrés, Vito Spagio prit la direction du Pont de Brooklyn, en se disant qu'il lui fallait absolument connaitre le nom de son interlocuteur qui avait oublié de se nommer et ce, involontairement au vu de son visage aux traits tirés, qui était surement du à un surcroit de travail et à l'heure tardive.

Vito fit un détour par sa modeste planque, afin de prendre deux bouteilles de scotch sortit tout droit de sa petite production personnel.
Sortant de la vieille batisse, Vito s'alluma une cigarette,et marcha un bon moment.
La chance étant avec lui, il trouva le clochard à qui il c'était présenté un jours plus tôt.

Vito le salua et sortit de sa veste les deux flasques d'alcool.
Aprés une discussion d'une trentaine de minutes et une description de son interlocuteur précèdent au clochard, Vito aprit que ce dernier n'était autre que "Vincenzo de Corleone".

Ce nom venait de faire ressurgir un souvenir d'enfance.En effet, lorsque Vito était trés jeune, son pére lui racontait souvent l'histoire de la Venga.
Histoire qu'il avait oublié mais qui reffit surface en quelques secondes.

Le symbole de la Vanga, légende Sicilienne qui avait marqué Vito était une chienne qui passait ses journées sur la place de la mairie au centre de Corleone. Elle s’appellait soit disant La Vanga.

Du nom d’un hameau des environs, et elle avait une particularité qui avait fait son histoire et sa légende pour les enfant.Elle accompagnait jusqu’au cimetière tous les cortèges d’enterrement puis revenait sur la place, où elle attendait le prochain convoi funèbre. Don Spagio, le pére de Vito lui avait dit que “Son père aussi faisait ça”. La Vanga était traitée avec respect et sollicitude, comme une divinité protectrice. Peut-être parce qu’elle représentait le lien étroit que Corleone entretient avec la mort.

Vito ne se sentit pas trés bien aprés qu'il se soit remémoré ce vieux souvenir.Il s'alluma une nouvelle cigarette en laissant le paquet au clochard et prit la direction d'un bar quelque peu miteux pour se remettre avec quelques verres d'alcool.

Le lendemein de sa nuit d'ivresse, Vito se réveilla bien mal en point.

Les bruits de la rue raisonnaient dans sa tête comme s'il avait une gare de trillage à la place du cerveau...
Le meilleur moyen de se remettre en route lorsque l'on est dans ce genre d'état, était de soigner le mal par le mal...

Il sortit un petit flacon en métal de son veston et l'incurgita d'un trait.Un frisson le traversa de part en part et son estomac se mit à gargouiller étrangement.

Vito se dirrigea vers sa kitchinette et se fit un café.Sirotant le liquide chaud et fort, il déplaca légèrement le rideau et regarda les aller et venus des badaux et des véhicules.
D'un coup il se retourna brusquement en entendant l'eau couler dans sa douche.

Vito mit la main rapidement sur son 45, et à pas feutrés il avanca à travers l'appartement j'usqu'a arrivé dans sa minuscule salle de bain.D'un geste sec tout en pointant l'arme vers le rideau de douche, Vito ecarta se dernier.

Un cri résonna et Vito écarquilla les yeux en apercevant une voluptueuse créature brune tentant de cacher sa nudité.
Un vague souvenir lui revint.En effet, il se voyait quitté un bar avec cette femme.La soirée avait du être beaucoup plus alcoolisé que dans son souvenir.
Vito laissa retombé le rideau, en disant à la jeune femme de terminer et de quitter sa planque.
Se qu'elle fit en quelques minutes.

Une petite demi-heure suffit à Vito pour se préparer afin d'aller entrer en contact avec quelques Bookmakers qui trafiquaient sur son territoire sans payer leur du.Ensuite Vito irait faire le tour de quelques petites boutiques afin de leur imposer sa protection.
Une journée chargée en perspective, car il devrait passer la soirée à organiser et à optimiser ses différentes productions.

En pleine aprés midi, Vito sort enfin de son minuscule bureau où il avait passé la nuit et toute la matiné.

Au moment ou il ouvrit la porte de la batisse assombrit par la polution de la ville, Vito vit qu'un plis avait étè glisser sous la porte.
Avant de se baisser pour le ramasser, Vito scrupta les alentours mais rien.

Il décachetta l'envelloppe, et il découvrit un court message lui annoncant que sa candidature présenter à la Famiglia quelques jours plus tôt à l'heure actuelle n'avait pas étè retenue.

De bréves explications, l'informaient qu'il devrait faire ses preuves en se concentrant sur le dévellopement de ses affaires.

Vito mis la lettre dans la poche intérieure de son veston et prit la direction d'une nouvelle affaire sur laquelle il avait fait main basse quelques jours plus tôt, non sans mal.

Bien que ses affaires n'étaient pour l'heure pas trés lucratives, Vito réussit néanmoins à financer les travaux qui devaient être fait dans son nouveau restaurant afin de transformer la petite pizzéria en un restaurant gastronomique Sicilien.

Evidement, pour se rembourser, tous les bénéfices aprés paiement des taxes et autres salaires, tomberaient dans les poches de Vito.

Malgré cette acquisition, Vito réfléchissait aux diverses façons de se dévellopper rapidement.Mais sa volonté, devrait être emprunte de tempérence, car déjà quelques flics de rue tournaient devant ses affaires.

Ces derniers, vu leur maigres salaires, étaient attirés par l'appat du gain comme des mouches sur un morceau de sucre.
Cela l'agacait, mais Vito allait devoir faire avec et surement les acheter si ces derniers devenaient trop zéler à faire leur job.

Malgré ces quelques tracas, Vito était heureux de pouvoir s'entretenir de temps en temps au télèphone ou de vive voix avec un Consigliéri de la Famiglia à qui il c'était présenté.
Ce dernier n'hésitait pas à le conseiller ou tout simplement à répondre aux intérrogations de Vito.

Mais Vito, allez bientôt devoir mettre en place un voyage rapide en Sicile pour mettre une fois pour toutes les choses au clair avec un vieil ennemi des Spagio.Cela devrait être fait rapidement.
Déjà, Vito avait noué d'étroits liens avec plusieurs ennemis de son ennemis.
Ces derniers lui fournissaient chaques semaines une multitude renseignements qui serviraient à l'élaboration du plan de Vito.

Mais pour l'heure, Vito devait augmenter les rentrées d'argent.

Pour Vito la fin de journée et la soirée étaient passés bien vite.Trop peut-être.
A peine était-il arrivé dans son restaurant, qu'il du s'entretenir avec un avocat venu tout droit d'Agrigente.Ce dernier avait posé le pied sur le sol des Etats-Unis depuis à peine quelques heures et venait s'entretenir d'affaires importantes avec Vito.

L'entretient porta sur une réunion secréte qui se tiendrait dans quelques temps en Sardaigne en présence de quelques petits Dons résidant en Sicile et n'ayant aucunes attaches pécuniaires avec le milieu Sicilien expatrié sur le nouveau continent.Mais les quelques contacts qu'avait Vito dans sa région natale depuis peu avaient, avec l'accord de Vito, laissé filtrer que tous les Spagio n'avaient pas disparru.

L'avocat qui s'entretenais avec Vito, lui annoncait, que le Sottocapo qui avait trahi il y a quelques années le vieux Don Spagio et par là même tout le clan se retrouvait presque totallement isoler depuis que Vito avait commencé sa Vendetta contre lui et tout son entourrage.Et les Dons en place en Sicile, se ralieraient à Vito, si ce dernier faisait le serment de ne pas revendiquer l'ancien fief des Spagio.Bien évidement, Vito serait libre de reprendre possession de son ancienne demeure familliale une fois le Sottocapo éliminé.

Vito assis et pensif, écoutait d'une prestence naturelle distante et froide son interlocuteur.La conversation se tenait dans le petit salon du retsaurant situé à l'étage au dessus.

Aprés quelques bouffés de cigarette, sa décision fut prise et dit à l'avocat qu'il serait présent à cette réunion en lui précisant toutefois, que personne ne serait informé de la date exact de son arrivée en Sardaigne.
D'un hochement de tête, l'avocat fit part de sa compréhension vis- à vis des précautions que prendrait Vito.

Puis, l'homme de loi ouvrit sa mallette qui bien évidement avait étè minutieusement fouiller au préallable, et en sortit quelques dossiers.
Des dossiers, concernant de jeunes Siciliens qui n'ayant plus d'autres options en Sicile que la prison, débarqueraient la nuit même au port de New-York.
Une bonne dizaine qui en échange d'une prise en charge immédiate, fourniraient une main d'oeuvre trés lucrative.

Vito étudia les dossiers un par un puis constatant que cela concordait parfaitement avec ce qu'il avait demandé, se leva et déposa les documents dans son coffre.
Il demanda à l'avocat s'il désirait se restaurer avant d'aller prendre son vol de retour mais ce dernier l'informat qu'un repas serai servit dans l'avion et que même par politesse il ne pouvait s'attarder du au trop peu de temps qu'il lui restait avant son embarquement.

Vito fit tout de même raccompagner l'avocat par deux de ses hommes d'honneur.
La nuit allait être longue et Vito demanda à ce qu'on lui monte du café trés fort.

Vito avait quitté une des grandes banquettes en croute de cuir noir dans laquelle il était installé durant son entretient avec l'avocat, pour aller dans son bureau.Un sicilien d'une imposante carrure posté devant la porte du bureau ouvrit cette derniére et en laissa entrer un autre.

Vito dissimulla un sourire, en voyant le Sicilien qui venait d'entrer.Ce dernier, inquiet à l'idée de faire tombé dans le bureau le plateau contenant entre autre une grande cafétiére, marchait en faisant de tout petit pas en fixant son plateau avec des yeux écarquillés.
Aprés une agonie de deux métres au plus, Vito pu voir le soulagement sur le visage de son homme de main.

Puis le télèphone résonna dans le petit bureau et l'homme de main quitta la piéce.
Un personnage influent d'une importante famille était au bout du fil.
Cette personne lui fixa un RDV à une adresse où les deux hommes pourraient discuter tout en étant en parfaite sécurité.
Vito aprés une courte conversation télèphonique racrocha le combiné, bu rapidement deux tasses de café et s'alluma une cigarette aprés avoir mis son feutre et son long manteau.

Vito arriva à l'adresse indiqué, et fit signe à ses gardes du corp de rester prét du véhicule.Il irait seul au RDV.
L'entretien dura environ deux heures, puis les deux hommes se séparérent et Vito regagna son véhicule.

Cette conversation officieuse offrait de nouvelles perspectives à Vito par un acroissement sans communes mesures avec la taille de ses affaires actuelles.

Mais pour l'heure, bien que songeant à l'oportunité que l'on venait de lui offrir, rien n'était fait.

Vito regagna son bureau, puis il envoya deux voitures et un camion au port de NY chercher les dix Siciliens qu'il devait prendre en charge.
Ces hommes, seraient installés provisoirement dans son petit entrepôt en attendant qu'il leur trouve un endroit correct où loger.

Quelques jours c'étaient écoulés depuis que Vito avait prit en charge une dizaine de Siciliens débarqué tout droit de son pays natal.

L'argent rentrait convenablement et chaque jours ses différentes productions augmentaient.

Un soir pluvieux, humide et froid, Vito était attablé dans un petit box sombre au fond de son restaurant.L'heure tardive aidant, les tables se vidaient une à une.
Un Maître d'hotel et un serveur faisaient des allers et retours entre la salle et les cuisines et s'attelaient égallement à redresser la salle.

Alors que Vito, allait monter à l'étage pour regagner son bureau, les paroles d'une conversation entre de jeunes gens l'interpellérent.
Ce fut surtout l'accent de l'un d'entre eux et qui trahissait une origine Sicilienne qui fit que Vito écouta plus attentivement leurs échangent verbaux.

Aprés plusieurs minutes d'une écoute appliquée, Vito aprit qu'ils étaient tous deux de jeunes avocats, frais émoulu d’une école de droit.
L'un deux, pour sa premiére affaire, avait décidé de défendre la mère d’un malade incurable contre une compagnie d’assurances.
Celui des deux qui semblait être originaire de Sicile, disait à l'autre que la réalité du barreau était toute différente de ce qu’il imaginait jusqu'alors et que subissant de fortes préssions physiques de cette compagnie d'assurance, il envisageait d'abandonner cette affaire.

Leur conversation dura encore un long moment, puis, l'un des deux se leva, déposa quelques billets verts sur le plateau ou était posé leur addition, et quitta le restaurant d'un ére repus et fatigué.

Vito se leva, s'approcha de la petite table ou celui qu'il pensait être Sicilien était encore installé et lui adressa la parole avec courtoisie, lui demandant si le service avait étè correct.
En tant normal, Vito n'auarit jamais eu ce genre d'approche, mais l'occasion ne pouvait lui glisser entre les doigts.

Le jeune homme, en premier lieu étonné, répondit par l'affirmative.Vito le fixa dans les yeux, et lui demanda en Sicilien d'où était-il originaire.
Le jeune avocat écarquilla une nouvelle fois les yeux et, aprés quelques secondes ce dernier lui annonca avec fierté qu'il était originaire d'Agira dans la Province de Enna.

Vito n'avait pas fait d'erreur en supposant que ce jeune avocat était un compatriote, et lui demanda s'il accepterai un verre d'Alicanto.
Ce dernier accepta et Vito, fit lui même un aller et retour pour aller chercher la bouteille de vin blanc sec et extrêmement fruité et deux grand verres à vin de dégustation.

Vito invita le jeune avocat à se servir, ce que ce dernier fit.Bien évidement, il n'oublia pas de servir Vito.
Comme tout homme aillant des affaires dans le millieu, Vito savait que l'alcool n'était pas un bon compagnon, et cela même, si quelques jours plus tôt il c'était laissé aller.

Pour ne pas avoir à touché son verre, Vito, chose rare s'alluma un cigare qui en régle génèral étaient réservés à la clientéle.
Pour les hommes d'honneur, les avocats sont sacrés et cela, Vito le savait. Mafieux ou pas, ils devaient être traiter avec la même déférence et le même respect que ceux dûs aux hommes d'honneur.

Le jeune avocat était "intéressant".Néanmoins, Vito devrait sur une longue période l'observer, le jauger longuement comme le faisaient les anciens lors d'un recrutement.Plus tard, Vito l'aborderait prudemment en lui parlant par allusions, par sous-entendus, par demi-silences.
Les hommes d'honneur appellaient ce mode d'expression typique "parler l'omertà".

Ensuite, si les réactions du jeune avocat étaient positives, alors Vito proffitant de son future voyage en Sardaigne puis en Sicile, commencera une longue investigation.Investigations ou plutôt enquêtes remontant jusqu'à deux générations en arrière, sur tous les antécédents du candidat, côté hommes et côté femmes". Durant cet examen de sa famille biologique, le nom du jeune avocat sera transmis orallement bien sûr, aux "représentants" des familles de toute la "province" concernée.Autrement dit celle d'Enna.

Mais pour l'heure Vito n'en était pas encore là.
Les deux hommes discutérent jusqu'au léver du jour puis le jeune avocat quitta le restaurant en ayant laissé sa carte à Vito.
Leur conversation avait porté sur des sujets plutôt communs, mais cela avait permit à Vito de se faire une premiére opinion sur son interlocuteur.